Rappelle-toi, Quand la réalité brise l’illusion d’une image idéaliste de la vie que nous décidons de mener, ou de la projection des autres ; ce sentiment de déception et de trahison intérieur est une forme de déception généralisée et normale - Le monde ne s’est jamais porté garant pour correspondre à nos idéaux. Tandis que l’attachement, lui nous rappelle cette pensée floue de l’illusion excessive : Ce qui semble nous écraser durant une période impermanente. La vie est imprévisible, un théâtre d’imprévus. Il faut accepter que rien ne nous est vraiment dû – Comme nous l’aurait confirmé Nietzsche : « l’Amor Fati – l’amour du destin… », qui consiste à accepter le changement et l’aimer – ainsi accepter les imperfections de nos perceptions et de l’existence. Au lieu de naviguer dans un cynisme riche en illusions de douleurs et d’injustice. Retourner à soi et recentrer l’énergie sur l’essentiel, quand tout semble nous livrer. Ceci dit revoir cet instant comme une reconstruction plutôt qu’un échec ou chute libre qui nous guide vers des bruits de désillusions. L’histoire humaine est un lot de phases de renaissances – Reconquérir et recouvrer sa force dans les moments les plus sombres. De grandes figures nous l’ont approuvé, comme Freud, qui lui favorisait la transposition de la pureté pour l’idéaliser ayant comme devise « Sublimer plutôt que subir ». D’où nous vient l’idée d’idéaliser notre liberté d’expression mais aussi sa formule. Pendant que les conditions, les actes, les moments et les mots nous échappent ou peut-être ne nous suffisent pas pour nous libérer : l’art, la nature, la musique ou encore la méditation réussiront toujours à nous jumeler et raccorder à la découverte d’une nouvelle facette encore plus idéale et plus généreuse que nos désenchantement personnelles… Le vécu lui et les histoires passées, nous façonnent en nous ayant ouvertes des nouvelles issues. La vie est en mouvement constant ; Héraclite et l’idée du devenir nous cette temporalité de l’émotion et de l’existence – Et si cette déception donc est en réalité le début et le passage à une gratitude minimale et un regard renouvelé. Le début d’un phœnix qui s’est recréer un sens plus authentique et plus libéraliste. Ce n’est pas le monde qui doit changer pour nous satisfaire et nous complémenter, c’est plutôt notre façon de minimiser nos moyens de contrôler notre vie et la contempler ; pour bien déterminer nos capacités à y trouver du sens de l’instant présent, car c’est le seul moment où nous aurions réellement de la maitrise concernant notre destin.