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Writer's pictureMohamed Zinelabidine

L’Imbroglio des cultures, le malentendu historique

Je reviens donc à mes hantises pour interroger le savoir et la philosophie d’un paradigme historique, social et politique, ayant marqué l’échange et le redéploiement entre Orient et Occident....

Un ouvrage de Mohamed ZINELABIDINE Synthèse des conférences présentées à l'Université Sorbonne Paris IV-France, (1992), Université Paris8 Vincennes-France (1992), Institut du Monde arabe, Paris- France (1993), Georgetown Université, Washington- USA (1995), York University, Toronto-Canada (1997), Haus Der Kulturen der Welt, Berlin-Allemagne (1997), Duke University, North Carolina-USA (1998), National Tapei University, Taiwan (2001), Université de Karlsrhue- Allemagne (2003), Université Paris I-Panthéon Sorbonne, France (2005), Institut Italie/Tunisie pour le Développement de la Culture en Méditerranée, Rome- Italie (2009), Agence Universitaire de Francophonie- Rabat- Maroc (2013). Pour introduction, l’auteur écrit « Aux origines de l’inextricable, Mohamed Arkoun dans son livre « Lectures du Coran » rappelle qu’il faut revenir sur l’étude du vocabulaire de l’espace et du temps, citation qui peut paraître ô combien importante pour essayer de redéfinir les composantes textuelles et contextuelles des cultures humaines et leurs prolongements dans l’histoire des civilisations. Je continue ici de longer les parcours difficiles d’une quête improbable d’idées, de pensées et de réalités aux confluences et aux rejets d’un Orient « inintelligible » à l’Occident !


Je reviens donc à mes hantises pour interroger le savoir et la philosophie d’un paradigme historique, social et politique, ayant marqué l’échange et le redéploiement entre Orient et Occident, les VIIIè. et XIVè.s. durant, ce qu’il est convenu d’appeler l’Âge d’or de la civilisation arabe ou le Moyen-âge occidental. En paraphrasant Arkoun, est-il nécessaire de rappeler que la foi religieuse, importante et prépondérante pour l’humanité, a souvent été un choix voire une volonté personnelle ou une adhésion dans le sens de l’esprit communautaire religieux identificatoire. C’est un fait imprégnant qui engage, en même temps, les connaissances, les sciences, les savoirs et les arts à interpréter un monde à se représenter – ensemble ou séparément- et dont il revient d’élucider bon nombre d’éléments, de connotations et d’acceptions véhiculaires.


J’appartiens ainsi, par conviction, à une tradition humaniste, confluente, intellectuelle et sensible qui a pris attache dans ce qu’Emile Bréhier appelait les grandes conquêtes du passé. Un passé lointain, à vrai dire, quand bien même il serait présomptueux de croire que le monde arabe et musulman continuerait d’inspirer aujourd’hui les valeurs de la préséance, de l’intelligence et du progrès, comme cela fut son cas pendant les VIII-XIVè.s.


Je continue d’interroger ces legs d’une histoire sédimentée, accumulée de langues, de religions, de pensées, de traditions et de mémoires, à partir d’une exclamation philosophique rapportée à ce qui peut définir en général - ou ce qui a pu définir plus particulièrement – l’appartenance à la communauté, à l’individu, à la création, au moyen d’un véhicule essentiel, celui de « l’Impensé ». Un Impensé outil de curiosité et de questionnement autour de la personnalité culturelle que je supplante à l’identité, la première étant plus dynamique, évolutive, assimilative et réactive aux temps de la confluence. Encore cet « Impensé », toujours cet impensé, ou pure impression, imperceptible et impensable, sans être absurde, comme moment de la perception, selon Maurice Merleau-Ponty. Une certaine manière à l’impenseur que je suis d’être confronté, heurté à l’inadmissible, à l’impensable, selon André Gide. Une autre manière d’aller croiser Santiago Espinosa, entre impensé, être et paraître pour intégrer l’irrationnel et le non-philosophique au profit d’un «Raisonner» autre et autrement.


L’Hypothésis, argument selon le mot grec « épochè » qui signifie justement cette mise entre parenthèses pour suspendre momentanément le jugement, allusion faite au philosophe allemand Edmond Husserl, pour désigner le processus de signifier, de saisir le sens des choses en suspendant ce qu’il y a ailleurs. J’y aborde par la supposition, la conjecture, le postulat ce que l’imaginaire anticipe sur la connaissance pour expliquer, voir ou prévoir comme réalisation d’un fait pour en déduire des conséquences. Une manière d’ébranler une hypothèse, pour paraphraser Diderot, et la conditionner pour aller loin dans ce qu’elle peut supporter. Pour ce, admettre un renversement épistémologique où cette même culture deviendra un privilège au profit du symbolique et de l’imaginaire. Une conjecture au sceau vérifiable d’idées qui interpellent l’humanité autant que l’humanisme pour mieux les servir et les construire.


Dans cet ouvrage, je ne fais pas référence seulement, comme le souligne Abdelmajid Charfi dans son livre « L’Islam entre le message et l’histoire », à la nuance portée sur théologie et soufisme, l’une rationnelle, l’autre affectif et pensée du cœur, selon lui. [CHARFI (Abdelmajid), L’Islam entre le message et l’histoire, Sud Editions, Tunis, 2004, p. 205]


J’aborde ici « qui je suis » pour cerner ce que je suis au regard d’un questionnement posé à l’Impensé philosophique arabe et musulman dans l’esprit des échanges et des répliques gréco-arabes référents, les rapports au néoplatonisme, à l’aristotélisme, au péripatétisme, tels qu’on peut identifier et retrouver dans certains écrits, chez nombreux penseurs des deux cultures.


Ce n’est pas, non plus, le rapport de l’Islam à l’Occident méditerranéen, d’un point de vue historique uniquement qui me tente, à la manière de Michel Terrasse que j’aborde et vérifie l’hypothésis. Mais cemonde d’alors, à partir du IXè.s., comme faisant partie des trois empires triomphant de sciences, de culture et d’intelligence: l’empire arabe en Orient et en Méditerranée méridionale, l’empire byzantin, l’empire carolingien en Occident. « Cet empire arabe, dont Emile Bréhier disait, avec ses grandes villes cosmopolites et la bigarrure de ses croyances, l’empire byzantin avec le triomphe de l’hellénisme qui suivit la fin du mouvement iconoclaste, l’empire carolingien avec cette mobilisation des forces spirituelles de la chrétienté que favorisa Charlemagne.»


C’est en essayant d’abonder dans cet esprit historique et humaniste commun des cultures, des civilisations et des religions entre Orient et Occident et en cherchant à reconstruire un legs à repenser ensemble qu’on est souvent déçu par certains intellectuels ou politiques dont la volonté est toute autre.


En 2008, un livre sur « Aristote au Mont-Saint-Michel » de Sylvain Gouguenheim vient une fois de plus jeter le trouble sur une relation suffisamment conflictuelle entre les mondes de l’Islam et de l’Occident. Contre l’idée, voire le fait que la science grecque avait été transmise, commentée, enrichieet véhiculée à l'Occident grâce à cette civilisation, entre les IXè. et XIVè.s., pour lui l'Occident n'a jamais perdu le contact avec ses racines antiques grâce à des foyers intellectuels comme le Mont-Saint-Michel, actif centre de traduction du Grec. Pis, l'auteur conclut que les Arabes n'auraient rien fait eux-mêmes de cet héritage tant il leur était inassimilable!


C’est cet esprit malencontreux que je récuse et une thèse pour le moins partisane qui confond arabité et Islam, d’une part. D’autre part, il y a même lieu de trouver dans cette allégation une gravissime injure à l’esprit historien et aux nombreux mouvements de traduction scientifique antique grecque à Bagdad entre 750 et 950 et sa transmission à l'Occident latin entre 1100 et 1300, que la pensée, la culture arabes et musulmanes y soient ou pas. Pourquoi donc un certain Occident intellectuel et politique s’obstine-t-il à refuser à l’Orient arabe et musulman, avec le règne de Hârûn al-Rachîd (785-809), son mérite d’avoir été le point de départ d’un développement intellectuel intense et immense dans le monde de la pensée aux IXè.-Xè.s., dans des pays de grandes civilisations antiques, en Syrie ou en Perse ? « Le Coran et la philosophie grecque ne sont pas tout: s’il y a des théologiens orthodoxes qui s’en tiennent à la lettre du Livre, on trouve une théologie libérale qui garde fort peu de l’Islam, un mouvement shiite dont l’inspiration se relie au culte persan de la lumière, un mysticisme qui n’est pas loin du bouddhisme.


La pensée philosophique n’est pas limitée à ceux qu’on appelle falasifa, c’est-à dire à ceux qui s’inspirent d’Aristote.» A chaque ouverture vers des cultures d’horizon et d’esprit différents, il y a un enrichissement qui permet à l’humanité de se redéployer, se réécrire, se redévelopper, au-delà des réticences sectaires religieuses, politiques et idéologiques à l’encontre. C’est par cet esprit philosophique, et plus largement scientifique, gréco-arabe et autres confluences que les savoirs, connaissances et arts ont repris à leur compte les idées antiques pour se les approprier d’abord, et en faire, ensuite, une interprétation, un prolongement d’une rare vivacité intellectuelle et créative. Qui l’aurait soupçonné ? La pensée grecque antique, et pas seulement, reprise, traduite, commentée et réintroduite à l’aune du IXè.s., non sans l’imprimer de l’intelligence des nouveaux érudits, philosophes qui allaient devenir à leur tour les références incontournables de la renaissance et des siècles qui ont suivi.


Ce devoir de mémoire et d’autorité des pensées et des idées, entre langues et cultures diverses, est ce que nous l’avons suffisamment soutenu, encouragé, maintenu et défendu à travers le temps ? Pas assez. Pourquoi ? C’est ce qui nous revient d’interroger et de situer aujourd’hui pour y remédier. Où en sommes-nous à présent de cette civilisation arabe dont une étude critique de la pensée néoplatonicienne qui ne se veut pas seulement une traduction des « Éléments de théologie » de Proclus, et ses théorèmes à la manière d’Euclide qui exposait la nature et les propriétés des trois hypostases : « l’Un », « l’Intelligence » et « l’Ame » ? La philosophie arabe n’y a-t-elle pas introduit la première hypostase ou Dieu possède la puissance créatrice absolue ? « Si le prétendu platonisme d’Aristote transformait l’interprétation de sa Physique et de sa Métaphysique, par un mouvement inverse, force est de constater que le péripatétisme transformait à son tour les notions platoniciennes.


La considération des êtres spirituels est liée à la structure de l’astronomie; ce sont les Intelligences motrices et les âmes des cieux qui remplacent les hypostases platoniciennes; et leur série hiérarchique où chaque terme produit le suivant ressemble plus encore aux séries gnostiques d’hypostases qu’à la métaphysique aristotélicienne.» [BREHIER (Emile), La philosophie du Moyen-âge, Paris, 1949, éd. Albin Michel, Paris, 1949, 470p.] Philippe Vallat se pose la question : «Pourquoi les Latins ont-ils déployé des efforts considérables pour traduire de la philosophie arabe et pourquoi, dans le même temps, au XIIIe siècle, ils n’en ont fait pratiquement aucun pour traduire de la théologie grecque ? Plutôt que de l’apport intellectuel gréco-arabe, c’est en effet de l’ignorance des Grecs chrétiens que l’Europe moderne a reçu la physionomie culturelle et intellectuelle qui est encore la sienne aujourd’hui, qu’on le déplore ou s’en félicite.» Emile Bréhier fait remarquer les traits qu’emprunte la philosophie arabe au néoplatonisme et considère, en revanche, que tous deux dépendent d’un plus large courant d’idées, très répandu en Orient, appelé la « métaphysique de la lumière.» L’action de l’être originaire est imaginée comme l’irradiation d’une lumière qui, en s’épandant, s’obscurcit peu à peu. Image présente dans les cultes solaires les plus anciens de la Mésopotamie, puis dans le culte de Mithra et qui a dominé, selon lui, pendant des siècles dans l’Orient, et se retrouve, jusqu’au XIXe siècle, dans le Babisme. Cette image contribue à renforcer le néoplatonisme.


A Bagdad, les premières traductions comptaient les ouvrages grecs, mais aussi indiens tels que les tables astronomiques du Sindhind, le manuel du gouvernement expliqué par la fable que constitue Kalîla wa Dimna, la première œuvre littéraire en prose de la nouvelle langue arabe d'empire traduite par Ibn al-Muqaffa‘. « Mais dans le cours des IXè. et Xè.s. le poids des œuvres, et surtout des hypothèses scientifiques grecques, ne cessera de s'affirmer : géométrie d'Euclide, système du monde géocentrique de Ptolémée, médecine des humeurs de Galien, instrumentation logique et thèses physiques d'Aristote, conceptions philosophiques d'Aristote et de Platon le Timée, la République commentées par leurs épigones tardifs, Proclus, Porphyre, Alexandre d'Aphrodise. Il n'y a de théorie globale de l'univers, vraie ou fausse, que grecque. Le classement stéréotypé des mérites des peuples, sicaractéristique de la culture islamique de l'An Mil, survalorise la part des Grecs dans l'élaboration de la philosophie c'est-à-dire ce que nous appelons les sciences, comme il survalorise les qualités politiques des Persans, la virtuosité technique des Chinois ou les qualités guerrières des Turcs. »


L’auteur fera observer aussi qu’au XIè.s. : « Ibn al-Haytham résume les doutes qu'entretiennent les astronomes sur le système du monde de Ptolémée tout comme le médecin Razi avait rassemblé au Xè.s. ses doutes sur la médecine de Galien. Le même auteur fera observer que malgré les remarquables tentatives de Nasr al-Dîn al-Tûsî XIIIe siècle en particulier, le système ptoléméen, qui ne répond pourtant déjà plus à l'observation astronomique médiévale la plus exigeante, reste en place jusqu'à Copernic, ou plutôt jusqu'à Kepler et Galilée qui sauront mettre le Soleil et non plus la Terre au centre de l'univers et expliquer le mouvement des planètes.» Ainsi, nombreuses sciences et découvertes seront mises en exergue, la numération de position, le zéro, la trigonométrie, l'algèbre, l'optique d'Ibn al-Haytham, les tables astronomiques, des appareils d'observation et de mesure et nombreuses démarches scientifiques dont le mérite des résultats reviendrait souvent aux épigones, continuateurs ou critiques arabes des Grecs dont les principes, les hypothèses scientifiques et philosophiques fondamentales montrent l'usage du syllogisme aristotélicien dans les démonstrations les plus rigoureuses. De cet esprit de confluence, il faudrait peut-être retenir les lumières de la traduction, de l’ouverture comme facteurs et vecteurs essentiels d’appropriation intellectuelle, scientifique et culturelle mutuelle orientale-occidentale loin du cloisonnement, de la fermeture et des préjugés néfastes. De ce mouvement ouvert aux sciences, nous verrons plus tard comment l’art sonore, la poésie, les systèmes acoustiques, la pensée esthétique, la poétique du monde arabe et musulman ont beaucoup profité pour se transformer, évoluer les VIIIè.s et XIVè.s durant, manifestement grâce à ce legs gréco-arabe et pas seulement, pour couvrir au sein des cultures de l’Islam une mutation artistique et scientifique prépondérante.


Où en sommes-nous du créationnisme, aristotélisme et astrolâtrie, doctrine gnostique des hypostases, métaphysique de la lumière, tels sont les traits qui viennent modifier ou renforcer le néoplatonisme dans l’esprit, la recherche et le commentaire des arts ?


Mais avant, pendant le XIIè-XIIIè s. la chrétienté latine n’avait retenu d’Aristote, selon l’auteur, que des fragments de sa Logique, présents chez Jean Scot Érigène au IXè.s., chez Abélard dans la première moitié du XIIè.s. Il faut donc attendre le XIIIè. pour qu’elle découvre le reste de l’œuvre du philosophe par l’intermédiaire des Arabes. Avec la reconquête de l’Espagne musulmane, les Occidentaux découvrent les manuscrits arabes qu’ils traduisent en latin, la Physique et surtout la Métaphysique d’Aristote et que Michel Scot notamment traduit les Commentaires d’Averroès qui devient, pour les occidentaux, « le commentateur», tandis qu’Aristote est « le Philosophe ». Pour Louis Valcke, l’Occident latin ne connaissait d’Aristote que quelques écrits ayant trait à sa logique. Lorsque la capitale des lettres, des sciences, des arts et de la philosophique se déplacera de Bagdad à Cordoue, de grandes relations s’établiront entre les cultures islamique et chrétienne. L’ouvrage aristotélicien transposé par les Arabes en leur langue a suscité un vif intérêt dans le monde latin de la scolastique. Bientôt, sous l'impulsion de Frédéric II, roi de Sicile, naîtra une intense activité de traduction, à laquelle s’attellera principalement Michel Scot, ce mathématicien et astrologue à la cour palermitaine de Frédéric. Les œuvres d’Averroès, par leur ampleur, importance et érudition, furent les premières à se répandre chez les Latins et le philosophe de Cordoue a été considéré comme le commentateur le plus digne représentant d’Aristote. Il est ainsi que la théologie avait réussi à assimiler la pensée de Platon, alors que la doctrine empiriste et naturaliste d’Aristote, par son caractère rigoureux et érudit, arrivait à fasciner les esprits les plus critiques.


C’est donc avec un mélange d’intense curiosité, d’étonnement fasciné, mais aussi de méfiance, de crainte et d'effroi, selon Louis Valcke, que l’Occident latin prend connaissance de ce vaste champ philosophique qui, tel un monde nouveau, s’ouvre à ses investigations. Le péripatétisme arabe, ses principaux représentants sont al-Kindî, al-Fârâbî, Ibn Sînâ, al-Ghazâlî, Ibn Bâja, Ibn Tufayl, Ibn Ruschd. Avant de vérifier certaines de leurs théories et philosophies péripatétiques rapportées aux lettres et aux arts, c’est ce rappel de Philippe Vallat relatif à l’idée de la neutralité axiologique de Max Weber qui nous sollicite à présent: « une simple lecture de la fameuse conférence de Max Weber en 1917, Wissenschaft als Beruf, doit à cet égard nous rappeler que ce qui a permis ce développement dessciences à l’époque moderne, c’est d’abord ce qu’on pourrait appeler le contexte libéral de toute pensée européenne depuis le XVIIè.s., c’est-à-dire la neutralité axiologique associée à l’idée même de science et de recherche scientifique dans l’Europe moderne. Projeter à l’époque médiévale et a fortiorià l’époque tardo-antique et antique l’idée que la pratique de la science est neutre du point des valeurs, ce serait commettre une nouvelle approximation.»


Cette neutralité axiologique wébérienne, est-elle vraiment prouvée, confirmée ou infirmée, relativement à l’époque que nous nous proposons d’étudier ? Quelques faits de l’histoire des idées et des réalités sur ce véritable imbroglio culturel et malentendu historique nous permettront de mieux élucider le questionnement et de rouvrir à davantage d’hypothésis.»

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